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Qui sommes nous ?

Maître crêpière depuis 2013, La Crêpe Qui Rit et moi-même vous accueillons à bord de notre Triporteur, Food Trailer et Food-Truck, sans oublier nos stands. Nos véhicules et nos stands sont conçus pour vous offrir des produits de qualité et une cuisine comme à la maison. Dans une ambiance gourmande et festive, nous mêlons saveurs Bretonnes et saveurs Régionales, Tradition et Originalité. Nous vous proposons des formules sur mesure pour vos évènements privés ou d'entreprises. Du 100% fait maison avec amour.

 

Laissez-vous surprendre par une ambiance conviviale et des créations savoureuses. Quelles que soient vos envies, le nombre de vos invités et l'environnement dont vous disposez, nous trouverons ensemble la formule idéale. 

La Crêpe Qui Rit vous propose des galettes traditionnelles, des galettes de saison et des crêpes gourmandes. 

N'hésitez pas à nous contacter pour une étude de votre projet. 

L'histoire des Crêpes et Galettes

La première crêpe ou galette remonte à la nuit des temps. Séchée au soleil ou étalée sur la plaque brûlante, modelée à la main ou étirée avec le rozell, quelque soit sa couleur, sa forme et la céréale dont elle est issue, elle est déjà mentionnée dans les récits bibliques et existe dans l’Antiquité.

Dès le XV ème siècle, la Duchesse Annede Bretagne, séduite par les crêpes de Blé Noir, décide d’étendre le Sarrazin sur l’ensemble de son Duché. Les paysans bretons trouvent aubaine dans cette plante qui demande peu de travail durant sa végétation. Bien que d’un rendement irrégulier et assez faible, elle permet une récolte au bout de trois mois, ce qui lui vaut le surnom de « plante des cents jours ».

Cette culture est d’autant plus précieuse qu’elle est très peu taxée. Cela permet à beaucoup de pauvres gens de se nourrir de ces graines transformées en farine.

La galette de sarrazin se cuisait à la poêle. On pouvait la couper pour agrémenter les soupes ou la garnir de multiples produits locaux.

La crêpe de sarrazin, beaucoup plus croustillante, s’obtenait en battant longuement la pâte au « poing » et se cuisait sur des pierres ou biligs en fonte.

A l’arrivé des premières galètoires, les jours de marché ou de foire, les crêpières travaillaient dès l’aurore pour préparer d’énorme piles de galettes accompagnées de pâtés, saucisses et beurre salé. La crêpe de sarrazin était dégustée au dessert, les crêpières rajoutaient des œufs à la pâte puis la parfumaient de cannelle ou de fleur d’oranger. La crêpe douce était née.

Bientôt, le froment remplaça le sarrazin puis le lait entra dans la composition.

Aussi nommerons-nous « galettes » tout ce qui est réalisé à base de sarrazin et « crêpe » tout ce qui est confectionné à partir du froment.

Les crêpes sucrées nécessitaient des produits qui étaient du luxe jadis: du sucre, du beurre, de la farine blanche....C'est pourquoi les premières recettes de crêpes vinrent de Paris.

Mais le savoir-faire séculaire des Bretonnes en matière de crêpes reprit rapidement le dessus, d'autant plus que leurs marins de maris ramenaient des saveurs nouvelles de leurs lointains voyages : rhum, fleur d'oranger, vanille, cannelle....qui vinrent parfumer les crêpes.

Les crêpes avec leur forme ronde et leur couleur dorée rappelleraient le soleil, ce qui expliquerait que l'on confectionne des crêpes à la Chandeleur, moment de l'année où les jours s'allongent de plus en plus vite. C’est également à cette époque de l’année que les semailles d’hiver commençaient. On se servait donc de la farine excédentaire pour confectionner ces crêpes, qui sont un symbole de prospérité pour l’année à venir.

Anne de Bretagne de La Crêpe Qui Rit

Anne de Bretagne, née le 25 ou 26 janvier 1477 à Nantes et morte le 9 janvier 1514

Galette de Sarrasin de La Crêpe Qui Rit
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